
Transports, premier poste budgétaire des régions, lycées, sport, culture… Les élu.e.s régionaux communistes ont montré leurs capacités et leur ténacité à défendre les services publics et à faire avancer les projets utiles et émancipateurs.
La compétence principale des régions c’est l’économie. Il est donc aussi possible de marquer le territoire d’une empreinte écologique, sociale, démocratique, à travers un développement efficace des outils de l’ESS, qu’il s’agisse des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE), en lieu et place des pôles de compétitivité, ou encore des Sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC),que la Région peut soutenir, voire même en être partie prenante.
De plus, nos élu.e.s seront en capacité de mettre en œuvre, dans le même mouvement, les valeurs émancipatrices de l’ESS, radicalement opposées à la conception que cherche à en implanter le gouvernement avec ses « entreprises à mission » (voir notre Manifeste pour une conception communiste de l’ESS,), ainsi que le document du CN du PCF : Ce que nous voulons pour nos régions, septembre 2020).
Travaillons ensemble à un « écomunisme régional » qui réponde aux aspirations des citoyen.ne.s et qui les aide à s’approprier leur vie.
Des propositions : voir la vidéo de l’entretien entre Hugo Vandame et Sylvie Mayer
le dernier numéro de Cooper’actif y est consacré, à travers des exemples concrets et des propositions dont les candidat .e. s communistes peuvent s’emparer.
Des régions qui portent un modèle économique alternatif, fait
de services publics élargis et accessibles – y compris avec des
gratuités –,
une agriculture paysanne, une transition énergétique
avançant vers une nouvelle industrialisation,
maîtrisée, une économie sociale et solidaire plus étendue,
à la fois lieu et modèle de cette économie alternative.
Chacun de ces domaines devra articuler le social et l’écologique.